Liste des encadrés

Encadré 1. Une offre aux taxinomistes.

Encadré 2. Version portugaise de FishBase.

Encadré 3. Utilisations des encadrés dans FishBase.

Encadré 4. Nous ne croyons pas aux codes.

Encadré 5. La température et la taille maximale des poissons.

Encadré 6. Chronologie des descriptions des espèces.

Encadré 7. Une offre aux experts des pays et des écosystèmes.

Encadré 8. Chronologie et succès des introductions en eau douce.

Encadré 9. La généalogie des souches cultivées et/ou introduites.

Encadré 10. Charles Darwin dans FishBase.

Encadré 11. Distribution latitudinale des prises nominales.

Encadré 12. Taille moyenne des poissons dans les prises des pêches.

Encadré 13. Analyse des statistiques de pêches à l’aide des pyramides trophiques.

Encadré 14. La distribution des longueurs maximales parmi les espèces de poissons.

Encadré 15. La croissance chez les poissons en captivité.

Encadré 16. L’origine et l’utilisation d'AUXIM.

Encadré 17. La mortalité naturelle des poissons.

Encadré 18. Les graphiques du rendement par recrue et de la biomasse par recrue.

Encadré 19. La modélisation par le modèle Ecopath et FishBase.

Encadré 20. L’herbivorie comme un phénomène des basses latitudes.

Encadré 21. Les niveaux trophiques des poissons.

Encadré 22. La hiérarchie des articles de nourritures.

Encadré 23. La hiérarchie des prédateurs.

Encadré 24. Les rapports prédateur-proie chez les poissons.

Encadré 25. La distribution latitudinale de l’hermaphrodisme.

Encadré 26. Le fardeau reproductif des poissons.

Encadré 27. La température et le développement des oeufs de poissons.

Encadré 28. La taille du cerveau et la consommation de l'oxygène.

Encadré 29. ADN, taille cellulaire et nage chez les poissons.

Encadré 30. Elevage par sélection du tilapia Nil.

 

Liste des figures

 

Fig. 1. Les destinataires de FishBase 98 par institution. Environ 50% des destinataires sont situés dans les pays en voie de développement.

Fig. 2. Les collaborateurs de FishBase par spécialité ; toutes les personnes représentées ici sont cités dans ‹ La table COLLABORATORS › (ce volume).

Fig. 3. L'écran d'identification rapide de FishBase 99. La ligne inférieure présente une courte description des caractères principaux du groupe désigné par le bouton actif, ici la lamproie.

Fig. 4. Tendance du niveau trophique moyen des débarquements dans la zone FAO 27 (Atlantique Nord-Est). Noter le déclin régulier, indiquant une transition graduelle des grands piscivores aux petits poissons planctonophages et aux invertébrés.

Fig. 5. Longueur maximale en fonction de la température pour des Gadidae et diverses espèces. La décroissance de la longueur maximale en fonction de la température croissante pour la famille (points noirs) est plus rapide que pour toutes les espèces (surtout si on ne considère pas le point de température inférieure à zéro, affecté par ‹ l'adaptation au froid › (voir Encadré 5)).

Fig. 6. Vue générale de la couverture des noms communs par FishBase, en pourcentage de quatre groupes de langues majeures ; noter que FishBase comprend aussi des noms communs (plus de 9 700 noms) pour d'autres groupes de langues.

Fig. 7. Nombre de descriptions d'espèces par périodes de 5 ans d'après les données de FishBase. Voir Encadré 6 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 8. Nombre cumulé des introductions internationales des poissons d'eau douce par région continentale FAO en fonction du temps. Voir l'Encadré 8 pour une interprétation.

Fig. 9. Carte mondiale des sites de capture de poissons actuellement répertoriés dans FishBase. Noter la couverture limitée de l'Asie Centrale et de l'Amazonie. Les coordonnées géographiques dans le coin inférieur droit indiquent la position de la flèche blanche.

Fig. 10. Distribution latitudinale des captures nominales par espèce. Voir l'Encadré 11 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 11. Série chronologique de la composition des captures pour le Canada Atlantique. Noter la chute des captures de morues dans les années 1990.

Fig. 12. Série chronologique des captures totales et de la taille maximale moyenne des espèces (en cm) dans les captures du Canada Atlantique. Noter l’augmentation des captures des plus petites espèces dans les années 1990.

Fig. 13. Pyramide trophique des captures pour l’Atlantique Nord (zones FAO 21 et 27), pour l’année 1950 (gauche) et 1997 (droite). Noter le déclin des poissons à haut niveau trophique (par exemple la morue) et l’augmentation des invertébrés.

Fig. 14. Distribution de la longueur des poissons tropicaux en comparaison avec les autres espèces dans FishBase.

Fig. 15. Les deux relations longueur-poids actuellement disponibles dans FishBase pour Lutjanus bohar. Noter que vous pouvez utiliser ce graphique pour estimer un poids en fonction d'une longueur donnée.

Fig. 16. Nuage auximétrique chez Sardinella longiceps et de 20 % des données chez d'autres espèces.

Fig. 17. Longueur en fonction de l'âge relatif (t-t0) pour Oreochromis niloticus niloticus. Ces courbes sont calculées par application de la CVB (Équation 1) aux paramètres LFishBase00090005.gif et K de la table POPGROWTH. Les courbes de croissance à asymptote faible correspondent plutôt à des croissances en captivité (voir Encadré 15 et Fig. 18).

Fig. 18. Nuage auximétrique visualisant la croissance des poissons en captivité. Les carrés noirs dont le log(LFishBase00090005.gif) est compris entre 1,0 et 1,5 correspondent principalement à des Oreochromis niloticus élevés en systèmes intensifs et semi-intensifs (voir Encadré 15) .

Fig. 19. Courbe de K en fonction de WFishBase00090005.gif. Les points clairs représentent toutes les espèces pour lesquelles WFishBase00090005.gif est disponible dans FishBase, les points sombres représentent des enregistrements pour Gadus morhua. L'ellipse, avec un point noir en son centre, représente les 95 % de limite de confiance. Voir Encadré 16 pour les détails.

Fig. 20. Dendrogramme des similarités (axe-X en unités arbitraires) dans ‹ l'espace de croissance › défini par AUXIM pour des Gadidae, avec 1 = Theragra chalcogramma ; 2 = Trisopterus luscus ; 3 = Merlangius merlangus ; 4 = Micromesistius poutassou ; 5 = Melanogrammus aeglefinus ; 6 = Gadus morhua ; 7 = Pollachius virens ; 8 = Trisopterus minutus. Comme il peut être constaté, Theragra chalcogramma et Trisopterus luscus d'une part, et G. morhua et P. virens d'autre part, forment 2 groupes bien séparés, les autres espèces s'agglomérant successivement.

Fig. 21. Effet du paramètre d'amplitude C sur une courbe de von Bertalanffy avec LFishBase00090005.gif = 25 unités, K = 1 ans-1, t0 = 0 et ts = 0.

Fig. 22. Relation entre le paramètre C et les différences de température été-hiver de leur habitat (FishBase00090008.gifT en FishBase00090006.gifC) pour 72 populations de poissons. C reflète l'amplitude des oscillations saisonnières de croissance.

Fig. 23. Mortalité naturelle en fonction du coefficient de croissance pour différents poissons. Voir l’Encadré 17 pour des détails.

Fig. 24. Mortalité naturelle en fonction de la longueur asymptotique pour les poissons tropicaux (cercles pleins) et les autres poissons (cercles ouverts). Noter l'effet de la température.  Voir Encadré 17 pour plus de détails.

Fig. 25. Courbe bi-dimensionnelle du rendement par recrue pour Plectropomus leopardus. Les paramètres utilisés sont : WFishBase00090005.gif = 2 220 g ; K = 0,43 an-1 ; to = 0,34 an ; M = 0,86 an-1 ; b = 3,2 ; tr = 0,12 an ; et tmax = 26 ans. Lc a été estimée à 20 cm. Les courbes descendantes montrent le déclin de la biomasse par recrue (B/R) avec l'augmentation de la mortalité par pêche (F). La courbe ascendante illustre la petite augmentation de rendement quand F est augmenté au-delà de F0.1 = 1,75 an-1. Les unités sont en g pour B/R et en g·an-1 pour Y/R. Les lignes en pointillé indiquent (de gauche à droite) : des valeurs de F où B/R est égal à 50 % de sa valeur initiale (c'est-à-dire, F0.5 ; F0.1) ; et Fmax, tel que défini dans l'Encadré 18.

Fig. 26. Courbe d'isorendement tri-dimensionnelle pour Plectropomus leopardus en fonction de la taille relative à l'entrée dans la pêcherie (Lc/LFishBase00090005.gif) et de la mortalité par pêche (F). Les paramètres utilisés sont : LFishBase00090005.gif = 45 cm ; M/K = 2 ; tc = 0,12 an ; tmax = 26 ans ; et Lc = 20 cm. Noter la petite variation de Lc/LFishBase00090005.gif FishBase00090011.gif 0,6 pour le Y/R maximal et F › 1,5 an-1. Voir Encadré 18 pour plus de détails.

Fig. 27. Série chronologique des quantités débarquées, de la biomasse du stock reproducteur, du recrutement et de la mortalité par pêche de la morue atlantique (Gadus morhua) autour de Terre-Neuve, Canada. Noter comment le développement des pêcheries modernes, au début des années 1960, a détruit une pêcherie qui avait été équilibrée (durable) pendant les 4 derniers siècles.

Fig. 28. Exemple d'un rapport entre recrutement et stock parental : Merluccius merluccius dans la zone ICES VIIIc et IXa. Noter les symboles utilisés pour identifier le début et la fin d'une série.

Fig. 29. Pourcentage d'espèces herbivores par latitude chez les Cichlidae et chez les autres poissons. Voir Encadré 20 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 30. Relation entre le niveau trophique et la longueur maximale chez les poissons. Noter la pente positive indiquant que les grandes espèces ont tendance à être plus piscivores que les petites

Fig. 31. Le régime alimentaire, en % du volume ou du poids chez Oreochromis niloticus niloticus au Lac Awasa. La décomposition détaillée des catégories présentées est disponible dans FishBase.

Fig. 32. Ration relative de Gadus morhua (points noirs) comparée à celle d'autres poissons. La grande dispersion est due aux différents types de nourriture, à la température environnementale et aux autres variables qui seront standardisées dans les versions futures de ce graphique.

Fig. 33. Consommation relative de nourriture des poissons tropicaux (points noirs) comparée à celle d'autres espèces.

Fig. 34. Longueur du prédateur en fonction de la longueur de la proie pour diverses espèces de poissons. Voir Encadré 24 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 35. Distribution de fréquences du rapport prédateur-proie pour les Gadidae et diverses espèces. Voir Encadré 24 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 36. Pourcentage des espèces de poissons hermaphrodites en fonction de la latitude. Voir Encadré 25 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 37. Fardeau reproductif pour plusieurs poissons. Noter la tendance descendante (voir Encadré 26 et Fig. 38 pour l'interprétation).

Fig. 38. Mêmes données que Fig. 37, mais présentées sous la forme logLm en fonction de logLFishBase00090005.gif. La relation n'est pas strictement proportionnelle bien qu'avoisinante : Lm augmente proportionnellement plus faiblement que LFishBase00090005.gif, ce qui explique que le fardeau reproductif baisse quand LFishBase00090005.gifaugmente dans la figure 37.

Fig. 39. Cycle de ponte chez Engraulis ringens au large de la côte Nord-centrale du Pérou.

Fig. 40. Durée de développement moyenne des œufs de poissons en fonction de la température moyenne de l'eau dans laquelle ils se sont développés et de leur diamètre. Voir Encadré 27 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 41. Durée de développement des œufs de poissons ajustée à la température en fonction de leur diamètre. Voir Encadré 27 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 42. Mortalité en fonction du taux de croissance chez les larves. Points clairs : toutes les espèces dans FishBase ; point noir : Clupea harengus.

Fig. 43. Poids relatif du cerveau en fonction du poids corporel. Points clairs : enregistrements divers dans FishBase ; Points sombres : requins et raies, qui ont relativement de grands cerveaux, peut-être pour assurer leur activité d'électro-détection. Par contraste, 6 des points sous le nuage correspondent à des lamproies.

Fig. 44. Consommation d'oxygène en fonction du poids relatif du cerveau de 30 espèces de poissons. Voir Encadré 28 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 45. Consommation relative d'oxygène chez Oreochromis niloticus niloticus comparée à diverses espèces. Noter la pente relativement bien descendante du nuage de points, et les séries verticales de valeurs obtenues par les différents stress appliqués.

Fig. 46. Indice de forme (= h2/s où h = hauteur de la nageoire caudale ; s = superficie de la nageoire caudale) chez un poisson pélagique (A = 7,5) et chez un poisson benthique (B = 0,6). Noter la correspondance entre les indices de forme et les modes de vie.

Fig. 47. Vitesse de nage en fonction de la longueur du corps chez les poissons. Noter que la vitesse de la nage ‹ explosive › est dix fois plus rapide que celle de la nage soutenue. Noter également qu'aucun poisson ne paraît nager à des vitesses inférieures à la limite de dépense d'énergie minimum par distance parcourue de Weihs (1973), dont la pente égale à 1 (impliquant une stricte proportionnalité entre vitesse et longueur) est pourtant la même que pour la courbe ci-dessus.

Fig. 48. Superficie des branchies en fonction du poids corporel (271 enregistrements pour 110 espèces).

Fig. 49. Superficie des branchies de Oncorhynchus mykiss en fonction de son poids corporel (points noirs), comparée à divers poissons (points clairs).

Fig. 50. Nombre de chromosomes des poissons d'eau douce comparé à celui de diverses espèces ordonnées en une séquence phylogénétique, des groupes les plus anciens (gauche) aux plus récents (droite). Noter la diminution de ce nombre et la variance pour les groupes récents. Voir Encadré 29 pour une interprétation de ce graphique.

Fig. 51. Contenu en ADN cellulaire chez Oreochromis niloticus niloticus. La diminution du contenu d'ADN des groupes anciens (gauche) aux groupes récents (droit) est semblable à la diminution du nombre de chromosomes (Fig. 50).

Fig. 52. Contenu d'ADN cellulaire, pris ici comme une mesure de taille cellulaire en fonction de l'indice de forme de la nageoire caudale (A), prise ici comme mesure d'activité. Voir Encadré 29 pour une discussion de ce graphique, et Fig. 46 pour la définition de l'indice de forme de la nageoire caudale.

Fig. 53. Hétérozygotie prédite en fonction de l'hétérozygotie observée chez Oreochromis niloticus niloticus (points noirs) et chez divers poissons (points blancs). La diagonale a une pente de 1, et identifie les points où l'hétérozygotie prédite est égale à celle observée. Les valeurs largement au-dessus peuvent résulter de la consanguinité, celles largement au-dessous, du croisement de souches.

Fig. 54. Polymorphie en fonction de l'hétérozygotie prédite pour Oreochromis niloticus niloticus (points noirs) et diverses espèces (points ouverts) ; un graphique semblable, accessible du menu Graphs, peut être utilisé pour comparer les populations en captivité avec celles en eaux libres. Le graphique montre que le tilapia du Nil est plus polymorphe que les autres espèces comparées.

Fig. 55. La fenêtre WinMap, avec ses paramètres par défaut. Ceux-ci peuvent être modifiés, par exemple pour insister sur les pays de signalement.

Fig. 56. Fenêtre de MakeMap.

Fig. 57. Carte de la répartition de Oreochromis niloticus niloticus créée avec l'option ‹ Exit & Print ›. Noter que WinMap a été appelé pour zoomer sur l'Afrique du nord et centrale.

 

Formulaire d’enregistrement de FishBase

À l’attention de : ICLARM, FishBase Project

Numéro de téléfax : (63-2) 816-3183

MCPO Box 2631

0718 Makati City

Philippines

De la part de : _________________________________________________

Voici les renseignements pour mon enregistrement

Nom : ____________________________________

Institution : ____________________________________

____________________________________

Adresse : _______________________________________________

_______________________________________________

Nº télécopies : ____________________________________

Courrier électronique : ____________________________________

Version de FishBase : ____________________________________

Nombre d’utilisateurs : ___________

Commentaires : _______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________